Lecture du WE, remontée dans le temps (Securibourse)

par fabrice , samedi 13 août 2016, 10:08 (il y a 3017 jours) @ fl1317

http://www.ateme.com/fr/presse-evenements/communiques-de-presse/ateme-et-nexguard-lance...

le 1er septembre 2015

Eindhoven (Pays-Bas) et Paris, le 1er septembre 2015 – NexGuard, une entreprise du groupe Civolution et leader mondial de la fourniture de solutions de tatouage numérique (forensic watermarking), et ATEME, leader mondial dans le domaine des solutions de compression vidéo HEVC, H.264 et MPEG-2, vont lancer une solution de watermarking pour les contenus vidéo à grande plage dynamique dits « High-Dynamic Range » (ou HDR) en pré-diffusion lors de l’International Broadcasting Convention (IBC). La solution avant-gardiste est disponible dans les transcodeurs TITAN d’ATEME, et sera présentée sur le stand d’ATEME à l’IBC (1.D71).

_« Les fuites illégales de contenus vidéo en pré-diffusion peuvent avoir des résultats catastrophiques pour les studios et la chaîne de post-production, car elles réduisent considérablement la valeur du contenu, » explique Jean-Philippe Plantevin, Vice-Président Sénior Produits et Solutions chez NexGuard.

_« Travailler avec une entreprise de la facture d’ATEME pour s’assurer de pouvoir remonter à la source des fichiers pirates HDR partagés de façon illicite est une avancée remarquable pour nous, et nous sommes fiers de voir que nos produits participent à garantir la valeur des contenus de qualité dès la phase de production. »
La solution est basée sur le kit de développement logiciel (SDK) de NexGuard, qui a été intégré dans les transcodeurs TITAN d’ATEME afin de faciliter l’identification des fuites de copies licites en amont d’une distribution à destination du grand public pour des écrans Ultra HD (UHD) et HDR. La solution respecte la spécification ITU-R BT.2020 relative à l’encodage UHD et HDR et permet à l’industrie de diffuser des images très haute qualité, proches de la réalité, sur les écrans nouvelle génération. ATEME et NexGuard utilisent des contenus source non compressés (au format UHD 12 et 16-bit) dans la préparation de vidéo HDR pour une distribution numérique et/ou Blu-Ray. Les images sont tatouées et encodées au format 10-bit Perceptual Quantizer (PQ) HDR, à 45 Mbit/sec en High Efficiency Video Coding (HEVC), en amont d’une distribution vers les écrans de télévision UHD capable d’afficher le HDR. « Avant de pouvoir investir dans du contenu et une infrastructure HDR, nos clients dans le secteur de la production et de la post-production ont besoin d’être sûrs que leurs contenus ne seront pas diffusés illégalement, » explique Emmanuel Boureau, Vice-Président des Ventes chez ATEME.

_« Notre collaboration avec NexGuard nous permet d’offrir une solution dédiée que nous pouvons facilement intégrer à nos encodeurs pour garantir une protection maximale des contenus vidéos haute définition en pré-diffusion. En utilisant la solution de tatouage numérique de NexGuard, nos clients peuvent identifier l’origine d’une copie illicite en un temps record. Nous pouvons ainsi participer à la protection des contenus à haute valeur ajoutée, et soutenir l’industrie de la production et de l’édition dans ses efforts liés au HDR. »
Ayant débuté comme solution de protection lors des projections cinématographiques numériques, le watermarking est devenu une technologie essentielle pour retracer les partages illégaux des fichiers vidéo en pré-diffusion, ainsi que de screeners et eScreeners. Les solutions de NexGuard ont été développées afin de répondre à l’ensemble des problématiques des industries de la télévision et du cinéma, qu’il s’agisse de cinéma numérique, de contenu en pré-diffusion, de TV à péage (PayTV) ou de diffusion en ligne. Des démonstrations des solutions de NexGuard auront lieu sur le stand 2.B41 à l’IBC pour que l’industrie puisse découvrir comment le watermarking participe à la lutte anti-piratage en permettant aux ayant-droits d’identifier la source de la diffusion illicite en quelques instants.

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http://www.rennes-atalante.fr/actualites-technopole/actualites-de-la-technopole/blog/ne...

mardi 19 juillet 2016
Protection des données numériques
Nexguard Labs BV intègre le groupe suisse Kudelski

Le spécialiste des solutions de watermarking pour contenus numériques Nexguard Labs BV, a été racheté par le groupe suisse Kudelski, acteur majeur de la sécurisation des contenus numériques et interactifs.

Cette acquisition représente une étape-clé dans la réalisation de la stratégie de croissance du groupe. Dans un communiqué, son président André Kudelski se réjouit « d’étendre son portefeuille de solutions de protection de contenu et d’enrichir ainsi son offre auprès des opérateurs de pay-TV et des propriétaires de contenus », de plus en plus exigeants sur le sujet.

Basé sur la technopole Rennes Atalante, mais aussi aux Pays-Bas, Los Angeles, New-York, Londres ou encore Dubaï, Nexguard Labs BV dispose d’un portefeuille de solutions de pointe en filigrane numérique, destiné à protéger les contenus média de toute redistribution illégale. La technologie qu’elle développe ne modifie pas l’expérience du consommateur et résiste à toute dégradation de contenu. Elle viendra renforcer l’offre actuelle du groupe Kudelski, soucieux de faire évoluer de manière continue et dynamique ses solutions de sécurisation. SmarDTV, une filiale du groupe, avait déjà racheté en décembre 2010 Iwedia, une entreprise également installée sur la technopole rennaise.

Avec 30 ans d’expérience en matière de certification de sécurité numérique, le groupe suisse est devenu un partenaire stratégique des opérateurs de télévision payante et des propriétaires de contenus.

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Publié mercredi 1 juin 2016
https://www.letemps.ch/economie/2016/06/01/kudelski-cree-un-second-siege-arizona

Kudelski crée un second siège en Arizona

Le siège principal demeurera à Cheseaux (VD), mais des employés seront délocalisés aux Etats-Unis

Le centre de gravité de Kudelski se déplace vers les Etats-Unis. Mercredi soir, le groupe technologique basé à Cheseaux-sur-Lausanne (VD) a annoncé la création d’un deuxième siège à Phoenix (Arizona). Si la Suisse conservera le siège principal, le groupe a néanmoins annoncé que des emplois seront délocalisés aux Etats-Unis. De plus, le spécialiste de la sécurisation des contenus numériques publiera désormais ses comptes en dollars, et non plus en francs.

L’annonce de mercredi soir fait suite à plusieurs décisions prises ces derniers mois concernant un développement aux Etats-Unis. En octobre 2015, le groupe avait annoncé une extension de son site de Phoenix, avant de nommer l’Américain Rich Fennessy au poste de directeur de sa division de cybersécurité. Début mai, Kudelski faisait ensuite l’acquisition, pour un montant non dévoilé, de la société américaine Milestone Systems, active dans la sécurité.

Cybersécurité de plus en plus importante
Pour expliquer sa décision, le groupe expliquait mardi que «les opportunités de croissance sont désormais hors d’Europe, notamment aux Etats-Unis». La société mise actuellement beaucoup sur la cybersécurité, où un centre a été ouvert à Cheseaux, comptant plusieurs dizaines d’employés.

Kudelski veut aussi se protéger contre la force du franc. Cette force avait affecté les résultats du groupe d’environ trente millions pour l’exercice 2015. Pour mémoire, le groupe a réalisé l’an passé un bénéfice de 49,3 millions de francs (+47,7%) pour un chiffre d’affaires de 950,8 millions de francs (+7,2%). Dans son communiqué de mercredi, Kudelski estime que la force du franc continue à affecter sa profitabilité et sa capacité à investir, nécessitant les décisions ainsi prises.

«Pas un clone»
Kudelski sera toujours coté à la bourse suisse. Le siège de Cheseaux va être conservé, voire même développé, selon le communiqué de mercredi. «Le but n’est pas de cloner le siège actuel», affirme la société, dont la décision aura un impact sur l’emploi. «Un certain nombre d’employés sera invité à se déplacer à Phoenix», écrit la société, sans donner de chiffre sur le nombre de collaborateurs touchés, ni évoquer de licenciement.

Kudelski emploie 3200 personnes au niveau mondial, dont plusieurs centaines en Suisse. Ce seront principalement des fonctions de support qui seront transférées aux Etats-Unis, ainsi que des postes à responsabilité dans les divisions finance et juridique. Kudelski affirme que l’ensemble de ces mesures n’affectera pas ses résultats 2016, mais seront bénéfiques dès son exercice 2017.

Vous en pensez quoi ?

Bon WE