Merci - Je suis toujours acheteur

par JanNo1, jeudi 02 février 2006, 01:30 (il y a 6880 jours) @ mareva

» perso je garde encore au chaud
» je suis rentrée vers 220
» puis j'ai pyramidé as usual
» PRU 296.20


Qu’elle similitude avec toi Maréva. Je partage aussi tout à fait ton avis pour la conservation des titres. Il n’est absolument pas question de vendre maintenant.
Je suis sûr que pas mal de personnes hésitent à acheter maintenant vu le cours aussi élevé. Cela se comprend un peu, je suis un peu pareil.
On disait un peu la même chose quand le titre était à 300 puis 400, 500 et maintenant 600€. Malgré la vente à plusieurs reprise de Bolloré, les titres on trouvés preneurs ; et je suis sûr que cela va continuer. C’est pourquoi j’attends une petite conso pour en reprendre, et je ne pense pas être le seul à attendre ce moment là.

Avec un 1er objectif de cours, (réévallué à chaque reprise) de 620, puis 680 et 700€ et des poussières, il y a encore de la place pour s’installer. L’année 2006 vient à peine de commencer, et on sait que l’année sera bonne (à défaut d’exceptionnelle >>>). Aussi, il y aura bien, à un moment donné, une division du nominal ce qui devrait de nouveau booster le cours.

Quand on lit l’article suivant récupéré sur Bourso, tout y est dit. Sauf l’évolution du cours du baril du pétrole. Quand on connaît son évolution au cours des années (voir ci-après) il n’y a aucune raison que cette tendance (haussière) ne perdure pas :
1998 : 5 à 6 $ le baril
2002 : 22 $ le baril
2003 : 30 $ le baril
2004 : 44 $ le baril
2005 : 57 $ le baril

a) Les tensions géopolitiques
b) La rareté du pétrole dans les années à venir (voir le Pic-Oil ou le Pic de Hubbert) avec une demande de plus en plus accrus (Chine, Inde…)
Tout cela ne milite pas pour une baisse des cours pétroliers dans les mois ou années qui suivent.

Mais les bons conseilleurs ne sont pas les payeurs, et je traduits uniquement ce que je ressent sur cette valeur ; cela s’arrête là.
A bientôt.


nb : voici l'article

Si la présence de Vincent Bolloré au capital du groupe publicitaire Havas suscite encore des interrogations au sein de la communauté financière, la pertinence de l'investissement de l'homme d'affaires breton dans le fabricant de tubes sans soudure Vallourec mérite à l'inverse d'être une nouvelle fois soulignée. Vincent Bolloré est effectivement monté à hauteur de 22,33% du capital de Vallourec en juin 2003, alors que l'action valait moins de 60E.

Le titre a atteint ce matin un nouveau sommet historique de 624E. Entre-temps, en bonne gestion, Vincent Bolloré a procédé à des prises partielles de bénéfices : sa participation a été ramenée à 21,89% en août 2005, à 19,53% en septembre 2005, puis à 15,83% du capital en janvier 2006. La plus value potentielle sur cette participation résiduelle dépasse donc 900%.

L'actualité récente de Vallourec devrait inciter Vincent Bolloré à prolonger sa présence dans le capital de Vallourec. Le groupe vient en effet de publier un chiffre d'affaires de 1264,5 mlsE pour son quatrième trimestre 2005, ce qui est assez nettement supérieur aux prévisions du consensus des analystes. Les ventes de l'ensemble de l'exercice écoulé s'élèvent à 4307,4 mlsE, en forte progression de 41,8%. Le consensus se situait à 4,2 mdsE.

L'annonce d'un ratio résultat brut d'exploitation/chiffre d'affaires du second semestre 2005 légèrement supérieur à celui du premier (22,8%) constitue également une nouvelle positive qui devrait soutenir le cours de l'action avant la publication des résultats consolidés 2005 le 8 mars prochain. Ce rendez vous sera l'occasion de mesurer l'impact de l'intégration dans les comptes de sa principale filiale V & M Tubes, dont Vallourec détient 100% du capital depuis le 23 juin 2005. Depuis le 1er juillet 2005, Vallourec récupère en effet la totalité du résultat net réalisé et du cash flow dégagé par V & M Tubes.

Il faudra patienter jusqu'à mars pour obtenir de la direction de Vallourec des indications précises sur les performances financières attendues en 2006. Mais d'ores et déjà, Vallourec souligne que son marché reste bien orienté, notamment dans les secteurs liés à l'énergie. La visibilité très forte sur les perspectives du groupe a récemment été renforcée par l'acquisition de la société française SMFI, spécialisée dans la fabrication de tiges de forage pour l'industrie pétrolière et gazière. Cette opération devrait avoir un impact positif sur les résultats de Vallourec dès 2006.

F.Berthon


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