Je passe à achat sur le marché pour la 1ère fois depuis 2007 (Securibourse)

par bpr @, Charente, dimanche 19 octobre 2008, 10:47 (il y a 5884 jours) @ publicjo

Bonjour,

J'ai un raisonnement similaire au tien sauf que je ne vends pas (à tord >) mes MID CAPS car j'ai beaucoup de liquidités.
On peut aujourd'hui investir dans des sociétés assez solides et espérer vivre uniquement du rendement même en projetant une baisse de ceux-ci. Je ne connais pas l'avenir, la seule chose que je puisse dire, c'est qu'en 25 ans de marché je n'ai jamais vu cela.

J'ai acheté depuis 15 jours FT, GDF, Rallye, Vivendi, SANOFI, Carrefour, Vallourec, UFF, APRR, ESSO, TOTAL.

Mon exposition en action est aujourd'hui 23% sur mon patrimoine globale (non côté inclus). Je pense monter à 30%

Pour Pages jaunes, j'hésite. Je ne comprends pas leur opération sur les fonds propres (remplacés par de l'endettement >). Si quelqu'un pouvait d'ailleurs m'éclairer car ils sont dans une situation que je croyais impossible.


Sur l'obligataire, c'est pareil comme je l'ai dit recemment. Exemple pour Graham. La perpétuelle 2004 sur ING s'achète à 45 % du nominal. Si ING n'est pas failli dans 4 ans par exemple et est revenue à bonne fortune, l'acheteur aura encaisser 10% par an soit 40% de coupon. On peut également penser que dans cette hypothèse, la perpétuelle se négociera alors à un prix "normal" de 90-95 % du nominal (taux révisable) soit une PV de 100%. Soit 140 % au total... Cela n'a tout simplement pas de sens. Par rapport à un investissement en action sur la même société, le détenteur de ces obligations est gagnant dans pratiquement toutes les hypothèses.

Autre arbitrage possible pour ceux qui ont des SCPI. Vente de celles-ci pour acheter de l'immobilier coté. Là aussi fait unique, l'immobilier coté est moins cher que les SCPI (qui ont continué à grimper l'année passée alors que l'immobilier coté s'effondrait).


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