par respect vis à vis de boursorama.
Il est totalement scandaleux que dans la prose de bimbo (alias on ne sait plus qui), probable grand schizophrène, il n'y ai pas la moindre once d'insulte (j'ai bien cherché), la moindre trace d'agressivité, de paranoïa, de méchanceté, de bêtise et de mythomanie. Qu’en plus celle-ci se permette de faire de l'humour, fasse preuve de créativité et de poésie, alors, là, NON, C’en est trop.