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et puis zut ! dites-moi plutôt si quelque chose

par mareva @, Barjac, samedi 19 mars 2005, 09:15 (il y a 7196 jours)

vous intéresse :-D :-D :-D

Journal des Finances n°6120 du 19 au 25 Mars 2005


Tous nos conseils



SOMMAIRE



ABC Arbitrage
ABC ARBITRAGE (604 mots)
Herrick du HalgouÎt
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES ...
Actielec Technologies
ACTIELEC TECHNOLOGIES (579 mots)
Chorère Ainejian
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES ...
Ada
ADA (417 mots)
Delphine Deshayes
RESTER A L'ECART...
Carbone Lorraine
CARBONE LORRAINE (507 mots)
Renaud Maridet
ACHAT EN BAISSE ...
Chargeurs
CHARGEURS (631 mots)
Chorère Ainejian
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES ...
Ciments Français
CIMENTS FRANÇAIS (527 mots)
Frédéric BERIOT
PRISE DE BENEFICES AU-DESSUS DE 80 EUROS ...
Du Pareil au Même
DU PAREIL AU MEME/ ORCHESTRA-KAZIBAO (592 mots)
Chorère Ainejian
ACHAT SPECULATIF ...
Euromedis Group
EUROMEDIS GROUPE (492 mots)
Sylvain de Boissieu
ACHAT SPECULATIF ...
Exel Industries
EXEL INDUSTRIES (553 mots)
Christelle Donger
ACHETER AU-DESSOUS DE 61 EUROS ...
Fimalac
FIMALAC (602 mots)
Benoît Menou
ACHAT EN BAISSE ...
Foncia Groupe
FONCIA GROUPE (586 mots)
Benoît Menou
RESTER A L'ECART ...
FSDV
FSDV (555 mots)
Christelle Donger
SPECULATIF ...
Ginger
GINGER (735 mots)
Frédéric Bériot
VENDRE ...
Guerbet SA
GUERBET (627 mots)
Sylvain de Boissieu
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES ...
Iliad
ILIAD (599 mots)
Renaud Maridet
ACHAT ...
Infogrames
INFOGRAMES (724 mots)
Jean-Baptiste Froville
RESTER A L'ECART ...
Inter Parfums
INTER PARFUMS (783 mots)
Bruno Kus
RENFORCER SUR REPLI ...
Itesoft
ITESOFT (571 mots)
Yannick DUVERGE
ACHAT SPECULATIF ...
JC Decaux SA
JC DECAUX (585 mots)
Jérôme Marmet
RENFORCER A TITRE SPECULATIF ...
Musée Grévin
MUSEE GREVIN (475 mots)
Fabio Marquetty
PRISE DE BENEFICES AU-DESSUS DE 58 EUROS ...
Orchestra-Kazibao
DU PAREIL AU MEME/ ORCHESTRA-KAZIBAO (592 mots)
Chorère Ainejian
ACHAT SPECULATIF ...
Plastic Omnium
PLASTIC OMNIUM (637 mots)
Jèrome Marmet
RENFORCER ...
Provimi
PROVIMI (509 mots)
Sylvain de Boissieu
PRISE DE BENEFICES ...
Rubis
RUBIS (625 mots)
Christophe Soubiran
ACHAT EN BAISSE ...
Samse
SAMSE (604 mots)
Frédéric Bériot
ACHAT EN BAISSE AU-DESSOUS DE 139 EUROS ...
Sasa Industrie
SASA INDUSTRIE (604 mots)
Christelle Donger
ACHETER ...
Sony Corporation
SONY CORPORATION (418 mots)
Jean-Baptiste Froville
RESTER A L'ECART ...
Suez
« Avec un bilan plus efficace, Suez pourrait valoir de 32 à 36 euros par action » (711 mots)
Propos recueillis par RENAUD MARIDET
ACHAT Le raisonnement d'Eric Knight est intéressant. Nous sommes, quoi qu'il en soit, acheteurs du titre Suez, avec un objectif de cours de 24 euros (code : SZE ; Comp. A, SRD). ...
Televerbier
TELEVERBIER (488 mots)
Fabio Marquetty
RESTER A L'ECART ...
Tiscali Spa
TISCALI (420 mots)
Renaud Maridet
RESTER A L'ECART ...
Total
TOTAL (545 mots)
Christophe Soubiran
ACHAT EN BAISSE ...
Tour Eiffel
TOUR EIFFEL (629 mots)
Benoît Menou
Viel et Cie
VIEL & CIE (595 mots)
Herrick du HalgouÎt
ACHAT SPECULATIF ...

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mareva

bonjour mareva

par velise, samedi 19 mars 2005, 09:20 (il y a 7196 jours) @ mareva

oui stp rubis et viel
merci

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et voili

par mareva @, Barjac, samedi 19 mars 2005, 09:29 (il y a 7196 jours) @ velise

RUBIS
Dans le sillage des prix du pétrole.
Christophe Soubiran

L'environnement a beau évoluer, et même se détériorer, RUBIS reste de marbre. L'envolée des prix du propane observée l'année dernière, les fluctuations du dollar et l'hiver le plus doux qu'ait connu l'Italie depuis 1948 n'ont pas réussi à enrayer la belle spirale de croissance bénéficiaire du groupe spécialisé dans le stockage de produits pétroliers et la distribution de GPL (gaz de pétrole liquéfié).

Ainsi, à partir d'un chiffre d'affaires de 413,6 millions d'euros, en repli de 4,3 %, le résultat d'exploitation a progressé de 8 %, pour s'élever à 34,1 millions d'euros. Les deux métiers du groupe ont contribué à parts égales à cette performance. La distribution de GPL a enregistré une hausse de 8 % de son bénéfice opérationnel, à 20 millions d'euros, grâce à la montée en puissance des activités africaines (Maroc, Madagascar et Sénégal) et à une progression des volumes en France, tandis que le résultat de la branche stockage a grimpé de 6 %, à 18,8 millions d'euros. Seule anicroche, le bénéfice net, à 14 millions d'euros, s'inscrit en recul de 6,8 %. Mais ce résultat intègre, à hauteur de 3 millions d'euros, l'impact négatif d'une taxe exceptionnelle « sur les réserves spéciales de plus-values à long terme » instituée par la loi de finances pour 2005. En effet, RUBIS, avant de devenir une société industrielle en 1993, n'exerçait qu'une activité financière. La société avait ainsi racheté à Suez une société de portefeuilles, appelée Compagnie de Penhoët (l'ancêtre des Chantiers Navals), qui contenait ce type de réserves spéciales. Si l'on exclut cet élément non récurrent, le résultat net aurait atteint 16,8 millions d'euros, soit une progression de 12,4 %.

La capacité de RUBIS à répercuter les chocs externes sur ses propres prix, mais aussi sa stratégie de couverture de l'ensemble des risques auxquels il est exposé (variations du dollar, des prix du GPL et du climat en France), explique cette récurrence des performances financières. Et l'exercice en cours ne devrait pas échapper à la règle. Les dirigeants du groupe tablent sur une croissance organique égale à celle dégagée en moyenne au cours des dernières années, soit 7 %. Reste qu'autour de 16 fois notre estimation de bénéfice net pour 2005 (18,5 millions d'euros) le titre intègre déjà cette perspective.

Après son gain de plus de 74 % depuis plus de deux ans, seule une opération de croissance externe d'envergure pourrait lui donner un nouveau coup de fouet. RUBIS reste d'ailleurs à l'affût d'éventuelles opportunités. Car le projet de construction d'un dépôt à Anvers, sur la rive gauche de l'Escaut, ne devrait pas voir le jour avant l'année prochaine. Il ne pourra donc contribuer aux résultats qu'au mieux en 2007. Même le rendement procuré par la valeur ne constitue plus en soi un argument d'achat et ne fait plus ressortir RUBIS du lot. Sur la base de la proposition qui sera soumise à la prochaine assemblée générale, le dividende de 1,50 euro par action (payable en titre ou en numéraire), en hausse de 5,6 %, fait ressortir un rendement certes correct de 3,4 %, mais pas plus élevé que la rémunération des emprunts d'Etat à long terme.

Notre objectif de cours s'élevant à 45 euros, nous recommandons de profiter de tout repli au-dessous de 38 euros pour se replacer sur le titre.

Marché B ; code FR0000121253 (RUI) ; cotation Continu ; cours au 17/03 43,09 € (283 F) ; cours extrêmes sur un an 32,58-43,75 € ; BNPA 2003, 2004 et 2005 estimés 2,27, 2,04 et 2,70 € ; PER 2003, 2004 et 2005 estimés 18,92, 21,07 et 15,94 fois ; rendement 3,48 % ; moyenne quotidienne des transactions 6.000 titres ; capitalisation boursière 295 M€ ; activité principale Stockage et distribution de GPL.




NOTRE CONSEIL
ACHAT EN BAISSE

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mareva

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et voilou

par mareva @, Barjac, samedi 19 mars 2005, 09:30 (il y a 7196 jours) @ velise

VIEL & CIE
La forte rotation du personnel affecte la marge d'exploitation.
Herrick du HalgouÎt

2004 aura été une année contrastée pour l'intermédiaire en produits financiers et non financiers, présent dans 18 pays. D'un côté, le chiffre d'affaires consolidé du groupe VIEL & CIE a progressé de 6,9 % (à cours de change courant), à 557 millions d'euros, ce qui est satisfaisant.

De l'autre, du fait de charges de recrutement ou de fidélisation de personnel, le résultat d'exploitation est passé de 35,7 millions d'euros à 27 millions, de sorte que la marge d'exploitation a reculé sévèrement, de 6,9 % à 4,8 %. Le groupe VIEL & CIE a subi des attaques de certains concurrents, qui ont tenté de débaucher plusieurs de ses équipes en Asie, ce qui l'a conduit à des hausses salariales pour les retenir.

Par ailleurs, le groupe français a recruté environ 250 personnes en front-office en 2004, en particulier en Asie, portant ainsi son effectif de 1.860 à 1.910 salariés. Nous estimons ainsi les départs de personnel en 2004 à 200 personnes, soit un turnover significatif d'environ 10 %. Les nouvelles recrues ont notamment été attirées par le paiement de « bonus de bienvenue ».

C'est ainsi que la rémunération des courtiers a bondi de 314 millions d'euros à 341 millions entre 2003 et 2004. Quant aux autres frais généraux, ils sont passés de 25,1 % à 26,1 % du chiffre d'affaires.

Au final, grâce à une reprise nette sur des écarts d'acquisition et à une plus-value sur une cession de titres Tradition, le résultat net part du groupe s'établit à 23,2 millions d'euros, en hausse de 21 %. Le rendement annualisé des capitaux propres dépasse 21 %. Et le dividende va être porté de 0,10 euro par action à 0,12 euro, si bien que le rendement du titre ressort à 3,1 %.

Selon nous, le renforcement des effectifs pourrait permettre, à VIEL & CIE d'augmenter son chiffre d'affaires de plus de 10 % en 2005 et de retrouver une marge d'exploitation supérieure à 5 %, car les équipes dernièrement recrutées sont aujourd'hui opérationnelles. De plus, le groupe est en passe de finaliser l'acquisition d'un courtier américain dont le chiffre d'affaires atteint 150 millions de dollars, et il a pris une participation de 35 % dans une société singapourienne spécialisée sur les marchés à terme.

Au troisième rang mondial dans les métiers d'intermédiation, derrière deux sociétés britanniques, le groupe VIEL & CIE est en bonne position pour participer au mouvement de concentration qui anime le secteur. Sa structure financière est saine et la trésorerie nette s'élève à 85 millions d'euros.

Nous tablons sur un résultat net part du groupe d'environ 20 millions d'euros en 2005. La faiblesse de la marge d'exploitation ne peut que freiner la progression du cours de Bourse. On pourra cependant spéculer sur l'amélioration de la rentabilité des activités de courtage en ligne en France et à l'étranger.

Le titre a perdu 4,7 % depuis le 10 mars. Nous recommandons d'acheter l'action à titre spéculatif pour jouer la restructuration du secteur, en visant un objectif de cours de 4,40 euros par action à moyen terme.

Marché B ; code FR0000050049 (VIL) ; cotation Continu ; cours au 17/03 3,93 € (26 F) ; cours extrêmes sur un an 3,43-4,27 € ; BNPA 2003, 2004 et 2005 estimés 0,27, 0,32 et 0,28 € ; PER 2003, 2004 et 2005 estimés 14,50, 12,09 et 13,72 fois ; rendement 3,05 % ; moyenne quotidienne des transactions 13.000 titres ; capitalisation boursière 281 M€ ; activité principale Courtier.




NOTRE CONSEIL
ACHAT SPECULATIF


FR0000050049595

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mareva

merci (rien sur sanef?)

par velise, samedi 19 mars 2005, 09:33 (il y a 7196 jours) @ mareva

et puis zut ! dites-moi plutôt si quelque chose

par doc crm, samedi 19 mars 2005, 11:52 (il y a 7196 jours) @ mareva

Bonjour Mareva [img][/img]:waving: :clap:

Et merci pour Total, Rubis, et je surveille Iliad, Du pareil au même pour l'achat, Sanofi et Clarins pour la vente.

Cordialement :schmack: :schmack:

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