C'est Rasko qui sera content. Cela confirmera sa thèse du hasard prévalant sur tout.
La remarque réciproque est aussi vraie: les premiers seront les derniers. Ce qui est en passe de se réaliser pour lui.

J'espère que les facturations à ses clients ont au moins partiellement compensé la baisse de son portefeuille.

Quand on songe que Stellantis, et Peugeot Invest, étaient il y a à peine plus d'un an les positions favorites de Romain Burnand, c'est dire s'il faut être suspicieux à l'endroit de la pratique du suivisme. Même les meilleurs se trompent. Alors les suiveurs ...

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Graham

Toffradamus ne serait-il pas trumpiste ?

Trump a mis un beau bordel.
Les modes changent vite et il est extrêmement difficile d'en prévoir les variations. Par exemple, il y a peu, il paraissait indispensable d'avoir un chiffre d'affaires fortement exposé à l'international. Il devient de plus en plus possible qu'une concentration du chiffre d'affaires à l'Europe soit demain un avantage en bourse.

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Graham