Merci Whypaymore pour ton post réponse très interessant. Je pense que FRYDMANN a confondu développement et fuite en avant avec une cette boulimie d'acquisitions.
C'est quoi FMF >

Salut à tous,

» Merci Whypaymore pour ton post réponse très interessant.
Merci

»Je pense que
» FRYDMANN a confondu développement et fuite en avant avec une cette
» boulimie d'acquisitions.

» C'est quoi FMF >
http://securibourse.jexiste.fr/forum/index.php>id=443&page=0&category=all&am...

A noter : Marionnaud - 6494 - INFO INVESTIR
VERS UNE CHARGE EXCEPTIONNELLE DE 20 MILLIONS D'EUROS
http://www.boursorama.com/forum/message.phtml>symbole=smallcaps&file=332228528&a...

C'est bizarre j'avais en tête le chiffres de seulement 3 M€ pour ces cartes de fidélité (d'où mon précédent message "AMA la comptabilisation de ces fameuses cartes de fidélité n'est pas le principal problème (peu de millions!)."!
Après vérifications, et bien que je trouve cela peut se discuter en traitement comptable (cf. ci dessous), AMA il ne faut parler des cartes de fidélité mais en fait des chèques de fidélité de 7.5€ (lorsque la somme des achats des clientes dépasse les 150€).
En fait AMA si cette charge exceptionelle de 20 M€ est réelle en T4 2004, cela permettra d'augmenter légèrement les profits futurs.
Pour moi, pas de quoi me faire changer d'avis sur cette entreprise (ils ont toujours besoin de cash AMA).

WPM

BALO 12/2003 :
http://balo.journal-officiel.gouv.fr/Files/2004/056/64648/2004051064648.htm
"Changement de méthode comptable :
— Coût de production des cartes fidélité : Depuis l’exercice 2001, le Groupe enregistre le coût de production des cartes fidélité en charges à répartir, amorties sur cinq ans, compte tenu des avantages futurs attendus et de la durée de vie des cartes, telle qu’elle résulte des analyses statistiques effectuées.
Les conditions pour constituer une immobilisation au titre du fichier constitué sont remplies, dans le cadre des règles françaises en vigueur.

Les montants comptabilisés à ce titre s’analysent ainsi :

(...)
— Provision pour chèques fidélité : Les cartes de fidélité sont émises par Marionnaud au bénéfice de ses clients. Ces cartes déclenchent lors de chaque achat en magasin, l’attribution de points. Au-delà d’un nombre déterminé de points (correspondant, dans les pays de l’euro, à 150 € d’achats), Marionnaud émet au profit de sa cliente un « chèque » de 7,5 € (dans les mêmes pays) qui ne peut servir pendant un an qu’au règlement de ses achats ultérieurs, sans aucune possibilité de remboursement.
Sur un plan financier, il sera fait observer que :

[quote]Le système n’entraîne aucun flux de cash ni au moment de l’attribution des points, ni au moment de la création des « chèques »,
Ce sont des décisions futures des clientes qui valorisent ou non l’engagement pris par Marionnaud ; c’est à chaque cliente de décider de renouveler ses achats pour « encaisser » le chèque,
Ces décisions futures conduisent non à des décaissements (cas des cadeaux) mais à des encaissements (ventes nouvelles).[/quote]

Compte tenu de ces caractéristiques, l’engagement résultant des points et des chèques émis ne faisait pas l’objet d’une provision, au motif que ces engagements ne constituaient pas une charge de l’exercice mais s’analysaient en une réduction de la marge bénéficiaire de l’exercice suivant. A la suite d’un contrôle ENA, la commission comptable de la CNCC a émis l’avis que cet engagement constituait un passif qu’il y avait lieu de provisionner, sauf à évaluer le montant des chèques tombant en non-valeur.
Dans notre cas, l’engagement potentiel correspondant aux chèques fidélité envoyés aux clientes est bien né des achats de l’exercice. Mais il ne se concrétisera qu’au plus tard au cours de l’exercice suivant par une réduction de la marge afférente aux ventes de cet exercice. En application du principe de spécialisation des exercices, l’engagement constitue une charge venant en diminution des produits de l’exercice au cours duquel il est enregistré.
Par référence aux normes IAS qui entreront bientôt en vigueur, nous avons décidé de provisionner, à compter de l’exercice clos le 31 décembre 2003, les chèques émis encore en circulation à cette date.
Le montant provisionné correspond au coût d’achat hors taxes des marchandises qui seront réglées lors du retour en caisse des chèques émis.
Le montant de la provision ainsi constituée, calculé sur la base des statistiques de retour des chèques fidélité (1), s’élève ainsi à 3,78 M€ euro au 31 décembre 2003, dont 2,4 M€ imputés sur le report à nouveau, en application des règles régissant la comptabilisation des effets des changements de méthode.

(1) En 2003, les 2,8 millions de chèques fidélité utilisés, en France, par nos clientes, d’une valeur nominale de 23 millions d’euro ont généré un chiffre d’affaires brut TTC de 201 millions d’euro."