Ce n'est pas un crash, ce n'est pas une récession, c'est juste la conséquence de l'absence de croissance chez "nous", en occident. On a rien en face de nos dettes, plus de croissance, et rien que des actifs difficiles à monétiser...

On nous enlève l'emploi (parti en Chine), il nous reste les dettes et pas un iota de croissance pour honorer les intérêts de la dette... Comment peut-on survivre à ça > Aucune chance. C'est mission impossible. La crise que je vois depuis belle lurette nous pète à la figure. Plein pot. Et c'est bien fait, et je suis content d'avoir eu raison. Les politiques et les économistes n'y pourront rien car "vos" politiques vous ont ruiné, avec votre propre argent, en compromettant votre propre avenir, et celui de vos enfants par la même occasion...

J'ai vu la "merde" arriver après l'explosion de la bulle internet. Ils n'ont rien trouvé de mieux que de stimuler une autre bulle avec des taux négatifs : celle de l'immobilier. Re-pétage de bulle quelques temps plus tard... Pendant ce temps là, la Chine prenait tout. Pire, nos entreprises lui donnait tout.

Maintenant, il nous reste plus rien.

Pour sortir de la crise il y 4 solutions :

- Dévaluer la monnaie (pas facile)
- Faire défaut sur la dette (très difficile)
- Imprimer des billets (créer de l'inflation)
- Faire la guerre (impossible pour l'Europe, car pas opérationnelle).

Eh oui... On se retrouve dans la peau de l'Allemagne en 33. Même si j'ai pas connu ça, j'ai lu.

Pour vous sauver de ça, convertir ses actifs en métal jaune. Ce n'est pas trop tard. Je commence à lire des objectifs à 5000€ l'once d'ici 2020... dans Les Echos s'il vous plait...

Pour moi, c'est simple, c'est 10.000$ l'once d'ici 5 ans. Même si le $ ne vaudra plus grand chose, que vaudra l'€ >>> Encore moins...

Si quelqu'un ici voit un autre scénario, je serai ravi d'en discuter. Parce que pour moi, on va droit dans le mur.

Je suis à Paris en ce moment, et j'ai pris possession de mon dernier kilo d'or. Ma moyenne à l'once est maintenant à 1130$. Y compris l'or papier bien entendu.

» Je commence à lire des objectifs à 5000€ l'once d'ici
» 2020... dans Les Echos s'il vous plait...

"€" >> Ce caractère étrange devrait avoir disparu depuis longtemps de nos claviers à cette date. Il faudra que je pense à conserver mon clavier actuel en souvenir !

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Pour revenir sur les solutions pour sortir de la crise:

1)Dévaluer la monnaie.
Pourquoi pas > La Chine sous-évalue sa monnaie depuis des années, une dévaluation ne serait que combattre à armes égales...

2)Faire défaut sur la dette.
Pourquoi pas > Mais le faire de façon intelligente : beaucoup des pays créanciers sont des paradis fiscaux, il faudrait refuser de rembourser si le destinataire n'est pas connu. Car il ne faudrait pas que l'argent de nos impôts aillent dans la poche d'un trafiquant de drogue, d'un dictateur ou le pire... d'un exilé fiscal !

3)Imprimer des billets.
Pourquoi pas > Il faut réussir à la maitriser (et donc avoir un pouvoir économique efficace, en Europe cela va être compliqué...) mais avec 10% d'inflation la dette va vite disparaitre !

4)Faire la guerre.
GW Bush en a fait 2 et c'est un peu la raison de la crise actuelle en vidant les caisses des USA, donc pas une solution.

J'en rajouterais d'autres :
5) Revenir à la situation d'avant 1973 , avant la loi interdisant au Trésor public d'emprunter sans intérêt à la Banque de France. C'est au état de créer de la monnaie et pas au système bancaire privé !

6) "Renationaliser" la dette : rendre plus ou moins obligatoire la souscription par les contribuables français aux emprunts d'état pour pouvoir gérer en interne le problème de la dette. Ainsi on en finit avec le pouvoir des agences de notation en ne faisant plus appel aux marchés.

Après avoir gérer le soucis de la dette, il faudra règler le problème qui nous a mis dans cette situation, c'est à dire l'évolution de la répartition des fruits de la croissance depuis 20 ans qui veux qu'une part croissante des revenus aillent vers les plus riches, obligeant les plus pauvres à emprunter pour survivre (crise des subprimes) ou les états à emprunter pour aider les plus pauvres (crise de la dette)

En voyant toutes ces solutions ont se rend compte que l'on est plus face à une crise politique qu'économique, les solutions existent, il suffit de les appliquer !