Nouriel Roubini: " Le pire de la crise est derrière nous" (Securibourse)

par gaepre1, vendredi 17 juillet 2009, 11:28 (il y a 5602 jours)

Qu'en pense Loïc >:-D

Nouriel Roubini: " Le pire de la crise est derrière nous"

par Bobo, vendredi 17 juillet 2009, 19:50 (il y a 5602 jours) @ gaepre1

C'est logique puisqu'on revient au point de départ! :-D

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info ou intox ?

par douzaine, vendredi 17 juillet 2009, 22:48 (il y a 5601 jours) @ gaepre1

Ceci dit, tous les gourous finissent par avoir tort un jour ou l'autre....

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Nouriel Roubini: " Le pire de la crise est derrière nous"

par labadie ⌂ @, Chaloupe St-Leu, La Réunion, dimanche 19 juillet 2009, 06:56 (il y a 5600 jours) @ gaepre1

» Qu'en pense Loïc >:-D

Bonjour gaepre, tu sais bien ce que j'en pense.
La bulle de crédit est toujours aussi grande, les déséquilibres n'ont pas été corrigés, et la seule nouveauté par rapport au début de la crise est que les finances des états sont bien plus dégradées qu'avant à la suite de leurs "plans de relances" aussi dérisoires qu'inutiles.
Maintenant, aucune crise ne progresse en ligne droite, et il peut y avoir des rebonds et éclaircies temporaires.
Pour le reste, la crise n'en est évidemment qu'à ses débuts, vu que le modèle de croissance basé sur une expansion du crédit beaucoup plus rapide que la production de richesses réelles est mort(quelles que soient les tentatives des états pour "relancer le crédit", et qu'il toujours n'est pas remplacé par autre chose.
A court terme, le T2 et le T3 2009 devraient marquer une petite amélioration de la situation (ou plus exactement un ralentissement de la dégradation des conditions).
Ensuite on pourra sans doute se faire une meilleure idée de la signification du mot "pire"...

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Nouriel Roubini: " Le pire de la crise est derrière nous"

par Graham ⌂ @, dimanche 19 juillet 2009, 14:45 (il y a 5600 jours) @ labadie

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L.Abadie a raison, plus que raison.

Le problème est qui seront les prêteurs et qu'elles seront leurs conditions >

Cette question est valable pour les individus, pour les entreprises, pour les collectivités, pour les Etats.

Les prêteurs peuvent bien encore un temps assurer leur fonction. Mais il viendra bien un temps où le rapport de force sera inversé en leur faveur.

L'unique incertitude est quand sera ce moment: maintenant, dans un an, dans dix ans, dans vingt ans > Sur ce point, je diverge avec L.Abadie. Et de là, la divergence d'opinion sur une sortie de crise partielle.

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Graham

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