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Mwarfff !!!!

Si on regarde le bandeau publicitaire en haut du lien, on se demande si ce n'est pas plutôt un message d'optimisme délivré aux bulls.

PER de 50 en 1962, pour une économie française en bien meilleure croissance qu'actuellement. 50 ... tout de même

A en juger par la une de bourso, il y a un air de morosité.
Les trois titres (sur trois à 20hs) sont plutôt pessimistes.

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml>news=4541499

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml>news=4541384

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml>news=4541209

On verra bien ...

Il est plutôt pas mal...

J'aime bien le portif. type. Correspond plutôt à mon profil...

Pour l'ambiance, elle va rester prudente jusqu'aux premiers transferts de la crise immobilière sur l'économie "réelle".

Septembre et octobre seront intéressants pour les taux US et EURO. Y'aura encore de la volat !

Marchés : en attente d'un faux pas de l'économie réelle > 28/08/2007 14:26

Avec l'accalmie des marchés, l'attention des investisseurs pourrait se recentrer sur les données économiques, délaissées ces dernières semaines et dont les opérateurs semblent attendre le moindre faux pas, selon Dresdner Kleinwort.
Le Conference Board Américain publie ce jour à 16h l'indice de confiance des consommateurs du mois d'août. L'analyste, qui attend une baisse significative, précise que le plus important reste de déterminer l'impact de cet affaiblissement sur les dépenses des consommateurs, accentuant encore plus le ralentissement de la croissance de la consommation. Par ailleurs, l'indice PMI de Chicago devrait afficher, vendredi, une progression modérée.
Du côté de l'inflation, l'indice PCE (dépenses de consommation personnelle) est attendu en hausse de 2% sur un an en juillet, atteignant la limite haute de l'objectif et pouvant remettre en cause la baisse des taux à la suite de la réunion de septembre.
Au Royaume-Uni, le courtier attend un déclin des prêts hypothécaires nets en juillet. Le bureau d'étude attend par ailleurs de mauvaises données économiques au Japon cette semaine : faible production industrielle, croissance négative des ventes de détail et déflation.

http://stockguide.blogbourse.com/article-173949.html

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C'est un article intéressant. Dans le fond, et pour déplaire à Bimbo, il répète l'argumentation que Labadie a depuis des mois.
Ce qui me surprend étrangement à chaque fois que je lis l'avis d'un spécialiste européen, c'est qu'il épargne quasiment systématiquement l'Europe du risque de récession. Je ne vois pas pourquoi elle le serait. Les excès sur l'immobilier sont quasiment les mêmes (sauf les subprimes, neg-am ou autres choses similaires). La finance est mondialisée, il n'y a plus de fontrières protectrices.
On ne cesse de mettre en avant les excès spéculatifs des Hedge Funds et la faible vigilence des prêteurs. Oui, c'est vrai. Mais par delà cela et qui est plus fondamentalement structurel: l'endettement excessif des ménages, la dépendance de la consommation à la capacité d'endettement, le risque de contraction des crédits, c'est à dire les freins à la consommation. Les excès américains ont été plus forts que les européens. En contrepartie, les revenus européens ont moins progressé. Les consommateurs américains et européens ont une capacité de consommation moindre qui risque fortement de se tendre, et pourquoi pas de se contracter. Comment la consommation pourrait-elle continuer à croître vivement quand les revenus progressent faiblement, que les conditions d'octroi des crédits se durcissent et qu'enfin les actifs baissent>
Certes, il est tout aussi possible que par un moyen quelconque (baisse forte des taux, excès seulement limités et maitrisables sur l'octroi des prêts) tout rentre dans l'ordre et continue comme avant. Je le répète: tout tient parce que tous dans le monde y croient. Ce serait continuer dans la grande illusion pour des excès encore plus amples et graves. Ceci me parait encore plus probable que le scénario de Labadie. Mais à la fin, ce que Labadie pronostique se réalisera tôt ou tard, à échéance inférieure à 20 ans. Le déclencheur sera psychologique: une remise en cause radicale de nos modèles sociaux. En fonction de la gravité de la crise (qui commence seulement), ce pourrait être dès maintenant. Les conditions sont là. Il reste la façon de d'appréhender, de concevoir et enfin de réagir aux difficultés de tous les acteurs. Le monde est-il prêt pour changer ses modèles> La réponse à cette question donne la solution des conséquences de la crise actuelle.

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Graham

http://kiosque-eco.credit-agricole.fr/medias/EcoNews68_200807_FR.pdf

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» C'est un article intéressant. Dans le fond, et pour déplaire à Bimbo, il
» répète l'argumentation que Labadie a depuis des mois.

Ce sont les certitudes qui me déplaisent. Pour le reste, on peut bien avoir l'avis qu'on veut sur tout et n'importe quoi. L'expérience nous apprend que les choses n'évoluent jamais exactement comme nous les avons imaginées.

Autour d'avis généraux sur une tendance générale, ce sont des idées d'investissements boursiers qui m'intéressent. Même au coeur des pires dégringolades, des entreprises tirent leur épingle du jeu. C'est l'essence de ce forum que de les chercher.

» Autour d'avis généraux sur une tendance générale, ce sont des idées
» d'investissements boursiers qui m'intéressent. Même au coeur des pires
» dégringolades, des entreprises tirent leur épingle du jeu. C'est l'essence
» de ce forum que de les chercher.

Le partage des idées.
Pour recevoir, il faut donner, où le jeu n'est pas équitable.

Il ne s'agit pas de la conjoncture boursière. Pour moi, je ne vois aucune opportunité franche (hormis deux dont j'ai glissé le nom récemment et dont je souhaite d'ici peu encore plus la baisse). Les ratios de valorisation me paraissent, sur les sociétés de qualité, trop élevés. Sur les sociétés médiocres ou incertaines, c'est normal et donc pas attrayant.

Je me rappelle le mot pertinent de Tristus Dolor: "une idée d'investissement ne se donne pas"
Ou du moins, après coup. Mais alors on devient intéressé et les avis sont biaisés. Cela vaut aussi pour les recommandations des analystes, des gérants et autres.

Par contre, je serai assez intéressé pour avoir un aperçu du moral des forumeurs par une question toute simple mais qui suffit à évoquer beaucoup sans avoir à dévoiler ses pistes. La voici:
Combien de sociétés dans votre portefeuille présentent les caractéristiques d'une opportunité nette et franche sur lesquelles, au cours actuel, vous n'auriez aucun doute aujourd'hui à horizon moyen (4-5 ans)et quelle proportion toutes ces sociétés présentent-elles dans votre portefeuille>
La réponse à cette question est très intéressante.
Pour ma part, je répondrai:
2 seules sociétés présentent pour moi le caractère d'opportunité franche et nette. Elle représente plus de 15% de mes avoirs.
Par contre, et en tout, je suis assuré qu'au terme de l'échéance de détenir 5 sociétés sûres et correctement rentables qui représentent ensemble 40% de mes avoirs.
Mais je répète ma position: le marché est correctement valorisé. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup d'évidentes opportunités quelques soient les évènements.

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Graham

Ca ne m'est jamais arrivé...

A fortiori sur des investissements aussi risqués que les actions!

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jean-marie

fait elle partie de tes deux idees fortes avec Acad>
que fais tu sur NRJ>

Oui, à horizon de 5-7 ans.
J'espère des résultats désastreux demain pour continuer à acheter.
Mais chut.

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Graham

As-tu gardé celles que tu as achetées pour ta fille il y a plus d'un an, aux alentours de 15 eur > c'est un de tes posts qui m'est resté en tête.
En d'autres termes crois-tu à un potentiel de 50% (pour que tu puisses revendre à ton prix d'achat) à 5-7 ans, comme tu sembles le dire > Pourquoi ne pas préférer une valeur bien gérée comme NextradioTV (BFM), opéable de surcroît et dans un créneau plus porteur > merci

19:05 - NRJ: RN S1 07 +52,3% à EUR49,5 mlns contre EUR32,5 mlns (DowJones

19:06 - NRJ: RO S1 -44,5% à EUR27,6 mlns (DowJones

19:07 - NRJ: CA T3 07 devrait être inférieur à CA T3 06 (DowJones)

» As-tu gardé celles que tu as achetées pour ta fille il y a plus d'un an,
» aux alentours de 15 eur > c'est un de tes posts qui m'est resté en tête.
» En d'autres termes crois-tu à un potentiel de 50% (pour que tu puisses
» revendre à ton prix d'achat) à 5-7 ans, comme tu sembles le dire >
» Pourquoi ne pas préférer une valeur bien gérée comme NextradioTV (BFM),
» opéable de surcroît et dans un créneau plus porteur > merci

En effet, j'en avais acheté pour ma fille, que j'ai conservé puis renforcé. Ma fille a quatre ans. Elle a donc le temps, le temps qu'il faut pour qu'NRJ développe ses nouvelles activités. Pris par le court terme, tout le monde s'imagine que d'un claquement de doigt, on réalise une activité bénéficiaire. Cela ne se passe jamais ainsi (même pour M6 pour qui y regarde de façon un peu plus poussée!). C'est la saison des investissements où l'erreur, les tatonnements sont possibles. Et alors> Les marchés réagissent. Tant mieux. Ma fille avait aussi en grande quantité Acadomia. Son petit portefeuille progresse bien sur l'année (dans les +50%). Cela ferait quelques jaloux! Pour se représenter la valeur d'NRJ, il ne faut pas regarder les multiples de valorisation, ni comparer aux fonds propres. Il faut décomposer la société par appartements, valoriser les activités de radio (en se représentant ce qui n'est que de la conjoncture et ce qui est pérenne) et laisser le temps nécessaire au développement des autres activités. NRJ est dépréciée. Le marché vise toujours le court terme en se disant qu'il sera toujours temps de revenir sur la valeur quand l'activité s'améliorera. C'est ce que se disait le marché aussi quant à Acadomia. Les recoveries sont très souvent brusques et impossibles à anticiper. C'est pareil pour NRJ même si les résultats les prochains exercices continueront à être impactés par le developpement des nouvelles activités. Il en est de même d'ailleurs pour NextradioTV mais le marché voit les choses différement, encouragé par les excellents résultats de la radio. NextradioTV est une belle société, très bien gérée, très prometteuse aussi. Mais elle n'est pas donnée et la réussite n'est pas encore assurée. Cela étant, elle n'est pas non plus excessivement valorisée. Je m'y suis intéressé trop tardivement. Si son cours devait continuer à refluer (20% ou plus), j'y investirai probablement. Cela étant la comparaison des valorisations de l'une par rapport à l'autre montre que le marché commet au moins un excès. Lequel> Pour moi, c'est évident. Quand NRJ aura fini de développer ses nouvelles activités, le résultat d'exploitation dépassera 160m€. Je n'en dirais pas plus, ayant trop dit déjà et cela n'étant pas à mon avantage. Cela étant, l'évolution du titre risque encore fortement d'être heurtée les 3-4 prochaines années. NRJ ne doit pas être pris pour un investissement de CT. Mais de cela, je ne sais pas pronostiquer.

Cordialement

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Graham

» Combien de sociétés dans votre portefeuille présentent les
» caractéristiques d'une opportunité nette et franche sur lesquelles, au
» cours actuel, vous n'auriez aucun doute aujourd'hui à horizon moyen (4-5
» ans)et quelle proportion toutes ces sociétés présentent-elles dans votre
» portefeuille>

Comme expliqué par ailleurs, je suis totalement liquide et j'ai vendu quasiment au plus haut (j'achète un bien immobilier cash). Si tout va bien, il me restera 20 % de mon patrimoine à réinvestir en titres et je le ferai de la façon suivante, dès lors que j'ai peu le temps de gérer (je préfère aller marcher dans la campagne et reluquer les oiseaux et petits lapins) . Sélection de ce que j'aurai lu sur les forums autour d'intervenants sélectionnés, et selon des critères précis (j'en dis pas trop, principe Tristus).

La tendance n'est certes pas neutre dans l'évolution d'un portefeuille, mais l'on voit tous les jours que le JTB fait, qu'avec une tendance court terme à la baisse, des portifs sont positifs sans aucune gestion. En théorie, un bon amateur peut faire un peu mieux qu'une gestion nulle...

Le jeu est donc de bien sélectionner, puis de bien entretenir. Un boursicoteur est un bon horticulteur.

Si j'avais du temps, je ferais de l'arbitrage de valeurs bancaires. La volatilité de ces titres et leur relative homogénéité donnent des opportunités à ceux qui aiment le spiel et les graphiques.

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2234/articles/a353018-.html

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