La Bourse de New York en chute libre, perd plus de 400 point (Securibourse)
© AFP Mike Clarke
La Bourse de New York dégringolait mardi dans la dernière heure d'échanges, l'indice Dow Jones perdant plus de 400 points (-3,21%) dans le sillage de la chute de la Bourse de Shanghaï et en raison des inquiétudes sur la santé de l'économie américaine.
Vers 20H15 GMT, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) reculait de 404,89 points à 12.227,37 points. Il a perdu plus de 500 points vers 20H05 GMT, dont 200 quasi instantanément, tombant à un plus bas de 12.086,06.
L'indice composite du Nasdaq perdait 88,44 points (-3,53%) à 2.416,08 points.
L'indice élargi Standard and Poor's 500 cédait 3,21% (-46,58 points) à 1.402,79 points.
La Bourse de Shanghaï a connu mardi sa plus forte baisse depuis 1996, de près de 9%, alors que persistent les craintes d'éclatement de la bulle boursière dans le pays et que les autorités veulent renforcer le contrôle du marché.
Par ailleurs, les commandes de biens durables aux Etats-Unis ont plongé de 7,8% en janvier, plombées par la faiblesse du secteur des transports notamment.
C'est leur recul le plus marqué depuis octobre 2006.
"Ce chiffre vient appuyer les récents propos de l'ancien président de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan", selon lequel une récession pourrait arriver aux Etats-Unis cette année, ont souligné les analystes de Briefing.com.
Serait-ce le scénario de Labadie qui commencerait ou seulement l'excès de spéculation qui est ponctuellement sanctionné>
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Graham
La Bourse de New York subit sa plus forte chute
depuis septembre 2001
La Bourse de New York a subi mardi sa plus forte chute depuis septembre 2001, l'indice Dow Jones perdant plus de 400 points (-3,29%), plombé par la chute de la Bourse de Shanghaï et un regain d'inquiétudes sur la santé de l'économie américaine.
A la clôture du marché, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) a reculé de 416,02 points à 12.216,24 points. C'est sa perte la plus forte depuis le 17 septembre 2001, le jour où la Bourse avait réouvert après quatre jours de fermeture dus aux attentats contre le World Trade Center.
Il a perdu jusqu'à 546 points en séance, dont 200 points quasi instantanément, tombant à un plus bas de 12.086,06.
L'indice composite du Nasdaq a perdu, lui, 96,65 points (-3,86%) à 2.407,87 points.
L'indice élargi Standard and Poor's 500 a dégingolé de 3,47% (-50,33 points) à 1.399,04 points.
"Cette chute est due à une combinaison de facteurs: le plongeon de Shanghaï, des commandes de biens durables bien inférieures aux attentes et des inquiétudes géopolitiques ravivées, notamment après un attentat suicide en Afghanistan mardi, pendant une visite du vice-président américain Dick Cheney", a expliqué Owen Fitzpatrick, analyste à la Deutsche Bank.
Quant à la chute du Dow Jones de 200 points en quelque secondes, M. Fitzpatrick l'expliquait par "des ordres de ventes automatiques, qui sont déclenchés quand certains niveaux de baisse sont atteints".
La Bourse de Shanghaï a connu mardi sa plus forte baisse depuis 1996, de près de 9%, alors que persistent les craintes d'éclatement de la bulle boursière dans le pays et que les autorités veulent renforcer le contrôle du marché.
Les commandes de biens durables aux Etats-Unis ont plongé de 7,8% en janvier, plombées par la faiblesse du secteur des transports notamment. C'est leur recul le plus marqué depuis octobre 2006.
Enfin, au moins quatorze personnes, dont un soldat américain et un autre sud-coréen, ont été tuées mardi par un kamikaze qui a fait exploser sa charge devant le QG de la coalition en Afghanistan pendant une visite du vice-président américain Dick Cheney.
Parmi les valeurs en vue, le groupe Wal-Mart, numéro un mondial de la distribution, a perdu 3,56% à 48,20 dollars, après avoir renforcé mardi sa présence en Chine.
Le groupe automobile germano-américain DaimlerChrysler a perdu 4,63% à 67,30 dollars alors que son conseil de surveillance a approuvé la signature d'un partenariat avec le chinois Chery pour importer de Chine des petites cylindrées pour le marché américain.
Le groupe de services pétroliers Halliburton a lâché 3,43% à 30,73 dollars. Le groupe va se séparer de la totalité de sa filiale KBR (construction) par le biais d'une distribution d'actions auprès de ses actionnaires (split-off).
L'éditeur de jeux vidéos Electronic Arts a perdu 2,54% à 50,64 dollars, après s'être doté d'un nouveau numéro un, nommant un ancien du groupe, John Riccitiello, au poste de directeur général, en remplacement de Larry Probst.
Le groupe informatique Apple a cédé 5,32% à 83,93 dollars alors qu'il va repousser à courant mars le lancement de l'"iTV", un boîtier numérique sans fil qui permet de transférer et de visionner sur un téléviseur des vidéos téléchargées sur un ordinateur.
Le groupe Ingersoll Rand a lâché 5,19% à 42,77 dollars. Le constructeur suédois de poids-lourds Volvo va lui racheter l'activité engins de construction de routes pour 1,3 milliard de dollars.
L'opérateur de la Bourse de New York, le Nyse, a lâché 6,18% à 84,45 dollars, affecté par une recommandation négative de courtier.
Sur le marché obligataire, le rendement du bon du Trésor à 10 ans a baissé à 4,513% contre 4,631% lundi soir et celui à 30 ans à 4,630% contre 4,733%.
Wall Street (-3,3%) a peur pour la Chine et la croissance
NEW YORK, 27 février (Reuters) -
Les marchés boursiers américains ont subi mardi leur plus forte baisse depuis près de quatre ans, le décrochage brutal de la Bourse de Shanghaï attisant les craintes d'une valorisation excessive des actions et des statistiques décevantes ravivant les inquiétudes sur la croissance aux Etats-Unis.
L'indice Dow Jones < DOW INDUSTRIALS > des grandes valeurs industrielles a fini sur un recul de 416,02 points, soit 3,29%, à 12.216,24. Le Standard & Poor's 500 < S&P 500 INDEX >, plus large, a cédé 50,33 points (-3,47%) à 1.399,04 et le Nasdaq Composite < COMBINED COMPOSITE INDEX > 96,65 points (-3,86%) à 2.407,87.
En une seule séance, les trois indices ont ainsi effacé tous les gains enregistrés depuis le début de l'année: le Dow accuse désormais un recul d'environ 2% par rapport à fin décembre, le S&P une baisse de 1,36% et le Nasdaq un repli de 0,31% environ.
Le Dow a perdu jusqu'à 546,20 points (-4,32%) une heure avant la clôture, touchant un plus bas de 12086,06 avant de reprendre un peu de terrain. Les 30 valeurs le composant ont fini dans le rouge.
"La peur a infecté les marchés financiers", a résumé Frederic Ruffy, analyste d'Optionetics.
Howar Silverblatt, analyste indiciel de Standard & Poor's, a précisé que la baisse de mardi avait réduit de plus de 430 milliards de dollars la capitalisaiton de l'indice S&P 500.
L'indice de mesure de la volatilité du CBOE , surnommé "l'indice de la peur" à Wall Street, a affiché en séance un bond de 70,5%, sa plus forte hausse depuis sa création il y a 17 ans. A titre de comparaison, il n'avait gagné "que" 31,16% le 17 septembre 2001, la première séance de cotation suivant les attentats du 11 septembre.
A l'origine de la forte baisse de ce mardi se trouve le plongeon de près de 9% de la Bourse de Shanghaï, sa plus forte baisse en dix ans, due à des rumeurs évoquant une prochaine offensive des autorités chinoises contre la spéculation.
MOUVEMENT DE BAISSE GENERAL DANS LE MONDE
L'autre facteur pesant sur la tendance a été l'annonce, une heure avant l'ouverture, d'une chute de 7,8%, nettement plus forte qu'attendu, des commandes de biens durables aux Etats-Unis en janvier. [ID:nL27707849]
Le mouvement de repli marqué a touché la plupart des Bourses mondiales, de l'Europe à l'Amérique latine. L'indice européen FTSEurofirst 300 a fini la journée en baisse de 2,79%, la Bourse de Londres a perdu 2,31%, celle de Francfort 2,96% et celle de Paris 3,02%.
En Amérique latine, la Bourse de Sao Paulo a chuté de 7,38%, celle de Mexico de 5,8% et celle de Buenos Aires de 7,49%.
A Wall Street, aucun secteur n'a été épargné. Les grandes entreprises bien implantées sur le marché chinois ont été particulièrement touchées, Caterpillar < CATERPILLAR INC DEL > cédant par exemple 3,61% à 64,83 dollars.
Exxon Mobil < EXXON MOBIL CORP >, plus forte baisse du Dow et du S&P, a cédé 4,7% à 71,83 dollars.
Les valeurs sidérurgiques ont été particulièrement sanctionnées: Mittal USA < ARCELOR MITTAL >, la branche américaine d'Arcelor Mittal , a décroché de 8,13% à 49,13 dollars, US Steel < UNITED STATES STL CORP NEW > de 7,87% à 86,51.
Les banques d'investissement et les courtiers ont aussi connu une séance difficile: Goldman Sachs < GOLDMAN SACHS GROUP INC > a chuté de 8,41% à 196 dollars, Lazard 4,58% à 51,04 et Lehman Brothers < LEHMAN BROS HLDGS INC > 4,68% à 74,19.
Les volumes d'échanges ont été particulièrement nourris avec quelque 2,41 milliards de titres traités sur le Nyse, contre 1,84 milliard par jour en moyenne l'an dernier, et environ 3,02 milliards sur le Nasdaq, contre une moyenne quotidienne 2006 de 2,02 milliards.
Le mouvement général de prises de bénéfice a occulté les rares bonnes nouvelles du jour, à commencer par le rebond inattendu de l'indice de confiance du consommateur du Conference Board [ID:nL27340527] et le chiffre supérieur aux attentes des reventes de logements le mois dernier. [ID:nL27337458]
Parmi les rares hausses notables, le distributeur d'électronique grand public RadioShack < RADIOSHACK CORP > a bondi de 11,94% à 25,13 dollars après l'annonce d'un bénéfice trimestriel supérieur au consensus. /MA
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Graham
Plongeon général des Bourses
Les marchés boursiers mondiaux ont essuyé de sévères pertes mardi en raison des craintes d'un ralentissement économique aux Etats-Unis et d'un éclatement d'une bulle boursière en Chine, où la place de Shanghaï a plongé de près de 9%, sa plus forte baisse depuis 1996.
La Bourse de Paris a dégringolé de 3,02%, au lendemain d'un sommet depuis six ans, Londres a lâché 2,31%, Francfort 2,96%, Madrid 3,01%, Milan 2,88%, Bruxelles 2,85%, Stockholm 3,93% et la Bourse suisse 3,40%.
La Bourse de New York a, elle, subi sa plus forte chute depuis septembre 2001, l'indice Dow Jones perdant 416,02 points à 12.216,24 points. C'est sa perte la plus forte depuis le 17 septembre 2001, le jour où la Bourse avait réouvert après quatre jours de fermeture dus aux attentats contre le World Trade Center.
Le Dow Jones a perdu jusqu'à 546 points en séance, dont 200 points quasi instantanément, tombant à un plus bas de 12.086,06.
L'indice composite du Nasdaq a perdu, lui, 96,65 points (-3,86%) à 2.407,87 points.
L'indice élargi Standard and Poor's 500 a dégringolé de 3,47% (-50,33 points) à 1.399,04 points.
L'ancien président emblématique de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, avait évoqué lundi un risque de récession aux Etats-Unis, "ce qui a été perçu comme une action concertée avec les responsables actuels de la Fed pour calmer les marchés après leurs fortes hausses des dernières semaines", a expliqué à l'AFP Alice Lhabouz, gérante chez Meeschaert.
Estimant lui aussi que M. Greenspan "pense qu'il vaut mieux une petite crise maintenant qu'une grosse crise plus tard", François Xavier-Chevallier, stratégiste du Crédit Mutuel CIC, a attribué la correction générale à "un flux de nouvelles globalement moins bon", en particulier dans le secteur immobilier.
"Les valeurs les plus sanctionnées sont celles qui sont les plus liées au cycle économique, comme le montre le recul des matières premières et la forte baisse de la Bourse suédoise, principalement composée de titres de biens d'équipements", a détaillé Mme Lhabouz.
Confirmant les craintes de ralentissement, les commandes de biens d'équipement sont ressorties inférieures aux attentes aux Etats-Unis, plongeant de 7,8% en janvier alors que les analystes tablaient sur une baisse de 3%, soit le recul le plus marqué depuis octobre 2006.
L'indice de confiance des consommateurs américains établi par l'institut Conference Board a en revanche progressé plus que prévu, à 112,5 points en février contre 110,2 points en janvier, de même que les reventes de logements aux Etats-Unis de janvier, en hausse de 3%.
En Asie, la Bourse de Shanghaï a connu sa plus forte baisse depuis 1996, lâchant 8,84%. Les investisseurs redoutent un retour de bâton dans l'euphorie financière ambiante et s'inquiètent de la volonté des autorités chinoises de renforcer leur contrôle sur un marché en plein boom, mais souvent critiqué pour son opacité.
"Il y a une bulle en cours. Les investisseurs devraient s'inquiéter des risques", a récemment averti Cheng Siwei, vice-président de l'Assemblée nationale populaire, craignant la ruine de nombreux épargnants chinois alors que la Bourse de Shanghaï a bondi de plus de 130% en 2006.
Le repli de la place chinoise a pesé sur l'ensemble des marchés asiatiques. Tokyo a clôturé en baisse de 0,52%, Kuala Lumpur de 2,81%, Jakarta de 1,12%, Manille de 1,44%, Singapour de 2,29% et Bangkok de 0,69%.
Par ailleurs, le regain de tensions en Iran, en Arabie saoudite et en Afghanistan a encouragé les prises de profits mais ne devrait pas provoquer à lui seul de retournement durable, les investisseurs s'étant habitués à composer avec les risques géopolitiques, selon Klaus Baader, de Merrill Lynch.
"Il est difficile d'imaginer un développement de ce côté qui augmenterait de manière significative les risques immédiats pour les marchés financiers", a argumenté l'économiste de la banque américaine.
Les Bourses latino-américaines ont également fini en baisse. La Bourse de Mexico a décroché de 5,8%, la Bourse de Buenos Aires a perdu 7,49% et la Bourse de Sao Paulo a abandonné 6,63%.
AFP Mike Clarke
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Graham
La Bourse de New York en chute libre, perd plus de 400 point
NEW YORK (AP) -- Un bug informatique a provoqué une chute brutale de l'indice américain des valeurs industrielles Dow Jones en milieu d'après-midi mardi, transformant un jour déjà morose pour la Bourse de New-York en un spectacle affligeant.
Dow Jones & Co (DJ), l'entreprise qui gère le célèbre indice boursier a indiqué avoir constaté peu avant 14h00 locales que ses ordinateurs, saturés, ne traitaient pas correctement l'énorme volume d'échanges de la journée sur la bourse de New-York.
La décision a alors été prise d'utiliser un ordinateur de secours, ce qui a provoqué une importante dégringolade de l'indice lorsque le système d'appoint a pris le relais, peu avant 15h00 locales.
Le Dow Jones a lors plongé d'environ 200 points presque instantanément et a perdu jusqu'à 546 points -le pire déclin en une séance depuis plus de cinq ans.
"Je n'ai jamais vu un tel effondrement, et ça ne fait que 47 ans que je fais ce métier", a déclaré Alfred E. Goldman, spécialiste en stratégie de marché pour l'établissement financier américain A.G. Edwards & Sons. "Le volume d'échanges, extrêmement important, a provoqué un retard dans la base de données du Dow Jones", a expliqué Sybille Reitz, porte-parole du Dow Jones.
Selon un autre porte-parole, la séance devrait cependant s'ouvrir normalement mercredi
Plongeon général des Bourses
Un petit bonjour au forum, ces derniers temps je me tenais loin du marché (liquide à 93% avec juste une petite ligne spéculative CBO) à la fois parce que j'étais archi baissier et que j'ai du subir une intervenion chirurgicale en janvier. Mais je reste un lecteur fidèle !
Ce mouvement (départ baissier dans des volumes anormaux) signale presque toujours le début d'un grand mouvement baissier.
Le cycle retournement immo -> hausse des faillites de ménages -> chute de la consommation et récession -> nouvelles faillites s'enclenchera comme prévu jusqu'à liquidation de la bulle financière en cours. Et cette bulle est géante !
Les liquidations immobilières (foreclosures) sont en plein boom actuellement, cela va mettre sur le marché encore plus de biens qu'il faudra écouler :
http://www.signonsandiego.com/news/business/20070222-9999-1b22loan.html
http://photos1.blogger.com/x/blogger/2825/754/1600/15103/NOD07projected.jpg
C'est amusant de voir les grands experts en économie qui nous promettaient il y a seulement quelques mois une croissance de 2 ou 3% aux US parler maintenant de récession possible...alors que la courbe des taux inversée a donné le signal depuis maintenant plus d'un an !
Mais il est vrai que Greenspan a les mains plus "libres" pour parler maintenant qu'il n'est plus aux commandes !
Perso je reste déterminé à attendre aussi longtemps qu'il le faudra la crise. Tant qu'elle ne sera pas là, que les marchés n'auront pas corrigé violemment et ne seront pas sous leurs plus bas de 2002 (il faudra sans doute plusieurs années), pas question d'investir sauf pour quelques A/R de court terme.
Bonne chance en tout cas à ceux qui restent investis, j'espère me tromper, cela vaudrait mieux pour tout le monde et pas seulement les épargnants !
Dès le mois de mars en tout cas, je prends mes dispositions pour basculer mon PEA sur la banque postale, maintenant la seule chose qui compte pour moi est de préserver mon PEA d'une faillite bancaire, donc de le garder au chaud dans une banque en "béton armé" !
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USA - Chute de 16,6% des ventes de logements
USA - Chute de 16,6% des ventes de logements neufs en janvier
WASHINGTON, 28 février (Reuters) - Les ventes de logements neufs ont reculé de 16,6% aux Etats-Unis en janvier, leur baisse la plus marquée depuis janvier 1994, d'après les statistiques publiées mercredi par le département du Commerce.
Le nombre de ventes de logements individuels a atteint 937.000 en rythme annualisé, le chiffre le plus faible depuis février 2003, alors que les économistes attendaient en moyenne 1,08 million de transactions après 1,12 million en décembre./MB