media 6

par ccart, lundi 30 janvier 2006, 14:44 (il y a 6883 jours)

un coup de chaud sur media 6.
la titre a décompressé après des résultats en dessous des attentes.
il s'offre aujourd'hui une hausse de 4% dans un volume significatif.
un fond qui entre ou des fuites concernant une acquisition imminente >

media 6

par nounours, lundi 30 janvier 2006, 16:11 (il y a 6883 jours) @ ccart

ou bien encore l'article du JDF >;-)

salut cedric. plaisir de te revoir ici.

par pasca711, lundi 30 janvier 2006, 17:36 (il y a 6883 jours) @ nounours

tu est parti six mois a tahiti ou quoi>>>>

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et ça continue...

par jmp ⌂ @, Boulogne/Mer, mercredi 01 février 2006, 09:17 (il y a 6881 jours) @ ccart

» un coup de chaud sur media 6.

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jean-marie

Nous pouvons retrouver des niveaux de rentabilité historique

par AToo, mercredi 01 février 2006, 10:48 (il y a 6881 jours) @ jmp

TROIS QUESTIONS A Bernard Vasseur Président-fondateur de MEdia 6
« Nous pouvons retrouver des niveaux de rentabilité historiques sur l'exercice en cours »
Propos recueillis par JErOme Marmet

LE JOURNAL DES FINANCES : L'action de votre société a perdu plus de 7 % depuis l'annonce d'une baisse de 13,8 % du bénéfice net à l'issue de l'exercice 2004/2005. Le marché a-t-il raison d'être aussi sévère >

Bernard Vasseur : - La Bourse est allée « un peu vite en besogne » par rapport à la réalité des chiffres que nous venons de publier. En vérité, le recul du résultat net est dû à un taux d'imposition plus élevé après une activation d'impôts différés ainsi qu'à une dotation aux amortissements d'écarts de survaleurs ; laquelle disparaît avec le passage aux normes IFRS. D'ailleurs, le résultat net avant survaleur a progressé de 6 %, à 3,1 millions d'euros. Les grands équilibres financiers de la société ne sont donc pas impactés, et tous nos autres engagements ont été tenus. La croissance organique de l'activité a été au rendez-vous [+ 3,2 % sur l'exercice] avec une accélération d'un semestre sur l'autre, et le bénéfice opérationnel s'est amélioré de 16 %, pour s'établir à 5,7 millions d'euros, et ce en dépit de la contribution négative de l'activité mèches. Autre point positif, après Nantes redevenu profitable, notre site de production de Barcelone a pratiquement renoué avec l'équilibre d'exploitation. Enfin, notre structure de bilan a été renforcée car nous achevons l'exercice avec une trésorerie nette de 3,4 millions d'euros, contre un endettement net de 2,1 millions un an auparavant. Fort de ces résultats, nous comptons proposer aux actionnaires le paiement d'un dividende de 0,17 euro par action, en hausse de 42 % par rapport à celui de l'exercice précédent. Vous conviendrez avec moi que la réaction du marché a de quoi surprendre.

Comment abordez-vous l'exercice 2005/2006 >

A quand le retour aux niveaux historiques de rentabilité >

- La conjoncture sur le marché de la publicité sur les lieux de vente tarde à redémarrer véritablement, et certains de nos grands clients présents dans le secteur de la parfumerie-cosmétique ont décalé leurs décisions d'achats dans le temps. Aussi, le premier semestre du nouvel exercice sera plus faible en termes d'activité que celui de l'an dernier. Cependant, nous devrions nous rattraper par la suite et faire au final un peu mieux sur l'ensemble de l'exercice tout en poursuivant l'amélioration de la rentabilité au travers notamment du redressement de l'activité mèches. Celle-ci a confirmé son redressement au cours du second semestre de l'exercice 2004/2005 et devrait contribuer positivement aux performances du groupe à l'issue de l'exercice actuel. D'ailleurs, sans les pertes engendrées par cette activité qui se répartissent entre les sites de Barcelone, de Prague et de Santiago du Chili, les objectifs de marges que vous mentionnez auraient déjà été atteints. Au lieu de cela, la marge d'exploitation est ressortie à 7,1 %, contre 6,3 % sur l'exercice précédent. Par conséquent, je pense que nous pouvons retrouver nos niveaux de rentabilité historiques sur l'exercice en cours. De plus, du fait d'un taux d'intégration plus poussé sur nos métiers, nous disposons d'un levier supplémentaire pour améliorer les marges.

Après l'assainissement de votre situation financière, vous souhaitez jouer un rôle actif dans la consolidation du secteur. Quel type d'acquisition pourriez-vous effectuer >

- Nous sommes, il est vrai, en mesure de saisir à nouveau des opportunités de croissance externe, mais rien ne presse. On prendra notre temps pour regarder de près tous les dossiers qui s'offrent à nous. Et c'est la qualité de l'opportunité qui fera le reste, sachant que celle-ci doit s'inscrire dans l'un des trois axes suivants : le renforcement de notre savoir-faire ou de gammes d'outils de communication sur les points de vente (à ce titre, une affaire dans le design ou les services peut nous intéresser), la conquête de parts de marché ou encore l'implantation du groupe dans de nouveaux pays européens.

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